De nos jours, on entend souvent parler du cloud computing comme d’une révolution sur laquelle il faudrait se jeter. Apple n’y est certainement pas étranger, à tort ou à raison d’ailleurs. Rappelons que c’est basé sur un modèle où on délègue la gestion des ressources informatiques (serveurs, stockage de données…) à un prestataire externe qui met tout ça à disposition via internet. Sur le papier, sauter le pas semble tentant. N’y a-t-il que des avantages toutefois ?
Les avantages de migrer vers une infrastructure cloud
On commence par tout ce qui est positif avec le cloud et notamment ce que cela apporte de passer par un prestataire externe sérieux comme Ozitem :
- Une suppression des coûts d’entretien et de maintenance de vos infrastructures informatiques. En effet, tout est compris dans la formule cloud que vous payez mensuellement. En vous débarrassant de vos serveurs physiques et autres équipements encombrants, il faut s’attendre à des économies sur la durée.
- La flexibilité et l’évolutivité, grâce à la possibilité de changer facilement de formule en fonction des besoins (plus d’espace de stockage, plus grande puissance de calcul…).
- La possibilité d’avoir accès à certaines technologies de pointe sans avoir à investir de grosses sommes.
Les inconvénients apportés par le cloud
Les principaux inconvénients du cloud reposent surtout sur la présence d’un partenaire externe dans l’équation. En effet, vu que vous devenez dépendant, vous avez moins de marge de manœuvre qu’avec votre propre structure. D’autre part, même si les formules sont évolutives, les possibilités offertes ne sont pas infinies. Et en cas d’augmentation des tarifs de façon unilatérale, vous ne pouvez qu’acquiescer ou bien changer de partenaire, ce qui est plutôt contraignant.
On peut aussi noter que des risques de sécurité et de confidentialité peuvent émerger lorsqu’on opte pour une offre mutualisée. Toutefois, si vous craignez que votre site web soit piraté par exemple, on estime au contraire que les dispositions prises par fournisseurs de cloud sont solides. Le risque zéro n’existe pas de toute façon !